Assis sur ce balcon, je me sens seule; j'épluche mes peines, j'équise la haine.
Soudain, je vois une lumière: c'est la victoire de la volonté c'est une force coutumière, celle qui va m'orienter
Si tu vois plus clair en moi, Bienvenue au monde de la foi.
reconnais-tu ce temps? c'est celui de l'indifférence et de la coopération. tes éfforts s'étendent comme le vent, dans un climat dit: De Vives Passions.
Ton éternelle jeunesse, change la face du monde; regarde, le mouvements des ondes ceux de l'extreme tendresse.
Ta vie est la mienne, et je veux qu'on s'en souvienne...
Jean Claude
Soudain, je vois une lumière: c'est la victoire de la volonté c'est une force coutumière, celle qui va m'orienter
Si tu vois plus clair en moi, Bienvenue au monde de la foi.
reconnais-tu ce temps? c'est celui de l'indifférence et de la coopération. tes éfforts s'étendent comme le vent, dans un climat dit: De Vives Passions.
Ton éternelle jeunesse, change la face du monde; regarde, le mouvements des ondes ceux de l'extreme tendresse.
Ta vie est la mienne, et je veux qu'on s'en souvienne...
Jean Claude